Votre esprit de qui la beauté,
Dans la plus sombre obscurité
Se fait une insensible voie,
Ne vous laisse pas ignorer
Que câest le comble de ma joie
Que lâhonneur de vous adorer.
François de Malherbe (1555-1628)
Votre esprit de qui la beauté,
Dans la plus sombre obscurité
Se fait une insensible voie,
Ne vous laisse pas ignorer
Que câest le comble de ma joie
Que lâhonneur de vous adorer.
François de Malherbe (1555-1628)
AprĂšs quelques beaux jours qui nâĂ©taient seulement une aberration climatique, un temps gris et frais accompagnĂ© dâun vent Ă dĂ©corner les bĆufs rĂšgne âŠ
CachottiĂšre
Encore une fois, je veux que tu ne te fasses pas menotte trop souvent. Je vais ĂȘtre jalouse de ta main. Je veux que tu me dises quand tu tâes fait menotte et que tu rĂ©sistes un peu. Je serai obligĂ©e de te corriger sinon. Tu ne fais aucun effort de ce cĂŽtĂ©. Tu es merveilleusement Ă©lĂ©gant ; je ne veux pas que tu te fanes en tâĂ©puisant par les plaisirs solitaires. Je veux te revoir Ă©patamment frais et les couilles pleines, sans quoi tu recevras des claques comme un Ă©colier qui sâest branlĂ© au lieu dâapprendre ses leçons. Quand on Ă©tait au collĂšge, on faisait un trou Ă sa poche droite, on passait la main et on faisait ça pendant toute lâĂ©tude. Yeux cernĂ©s. Mais je ne veux pas quâun grand gaillard comme toi se branle comme un petit garçon pas sage. Si tu fais ainsi, câest le fouet que tu auras, mon minot, le fouet pour te mater. Tu auras beau faire mĂ©talliser ton derriĂšre, je te fesserai jusquâau sang, de maniĂšre que tu ne puisses plus tâasseoir. Tu cul payera pour ta jolie queue, mon prĂ©fĂ©rĂ©. Je te dĂ©sire Ă©perdument. Je nâen puis plus. Je ne sais si on me donnera une permission pour te rejoindre avant longtemps. Il me tarde que tu sois lĂ . Si tu savais comme jâai envie de faire lâamour, câest inimaginable. Câest Ă chaque instant la tentation de saint Antoine, ta verge, tes bourses, ton cul splendide, tes poils, ton trou de balle, lâintĂ©rieur si animĂ©, si doux et si serrĂ©, je passe mon temps Ă penser à ça, Ă ta bouche, Ă tes narines. Câest un vĂ©ritable supplice. Câest extraordinaire, ce que je peux te dĂ©sirer. Tu mâas fait oublier mes anciens amants Ă un point inimaginable. Pourtant ils Ă©taient bien tournĂ©s. Je ne les vois plus que comme de la m..de. Le Marquis qui Ă©tait Ă©patant, bon lĂ©cheur, des couilles Ă©patantes, grosses et fermes et une queue bien droite, qui bandait dĂšs quâon la touchait et le mettait de suite en chaleur, des cuisses musclĂ©es et des pieds Ă ravir. Il nâest plus rien. C.,. ravissamment fait, une des plus grosses bites du monde et que je chevauchais avec un Ăącre plaisir. Il nâest pas plus que du crottin. Toi seul, mon diamant, mon cher prisonnier, mon cher fouettĂ©, toi seul existes. Mon prĂ©fĂ©rĂ©, je me souviens de notre 69 Ă©patant. Quand on se reverra on recommencera. Si ça continue, je me demande si je ne serai pas obligĂ© de me faire menotte moi aussi en ton honneur. Câest tout de mĂȘme malheureux dâĂȘtre privĂ©e de toi. Le dĂ©sir au fur et Ă mesure quâil sâaccroĂźt devient un supplice. Je te couvre de baisers partout, tes chers pieds que jâaime tant je leur fais petit salĂ©, entre chaque doigt, je remonte le long du mollet que je mordille, tes belles cuisses, je mâarrĂȘte au centre et parcours longtemps ton trou adorĂ©, ta verge dâoĂč sâĂ©panche lâor en fusion de ton pipi mignon, lâanus plissĂ© et jaune comme un Chinois oĂč pĂ©nĂ©trant je tâai fait crier de douleur Ăącre, la bouche adorable oĂč ta salive a le goĂ»t des fruits que jâaime le mieux, les deux narines oĂč jâai mis ma langue et qui ont une saveur salĂ©e dĂ©licieusement dĂ©licate et ces deux oreilles si chaudes, si nerveuses. Les portes de ton corps sont les entrĂ©es merveilleuses du plus beau, du plus noble palais du monde. Jâoubliais tes deux yeux chauds et salĂ©s comme la mer et plus profonde que ses gouffres. Ă portes, quand vous entrouvrirai-je encore ? Mon divin, mon minet, tu ne peux pas imaginer Ă quel point je te voudrais. Dis-moi pas trop de menotte. Ăcris, fais quelque chose. Je tâembrasse, je tâadore, je te suce, je te baise, je tâencule, je te lĂšche, je te fais feuille de rose, boule de neige, tout tout tout absolument tout mon diamant, je te prends tout entier.
Merci Ă Guillaume et Ă Vous.
– Jâaime ton cul !
– Tant mieux.
– Vous avez un pĂ©nis michelangesque.
– Ah qu’est cela ?
– Si Michel-Ange avait eu une commande pour un sexe dressĂ©, il aurait pris un modĂšle comme vous. Bien proportionnĂ©. Qui dĂ©calotte bien. Large. Endurant. (Ăa câest pour les sĂ©ances de poses qui sont longues).
– Ah oui.
– Oui oui. Avec de belles couilles bien rondes. Et des belles mains pour prĂ©senter lâengin Ă ma bouche inondĂ©e.
– âŠ.
– Fuck Michel-Ange. Je vais repeindre votre sexe avec ma salive.
Nous rĂąlions de concert sur le partage des tĂąches parfaitement genrĂ© et totalement dĂ©sĂ©quilibrĂ© que nous vivons chacune dans notre couple quand une femme que j’aime a Ă©mis le souhait de se dĂ©barrasser des contingences majestiques.
Je n’arrive toujours pas Ă comprendre si elle pensait que notre majestĂ© innĂ©e Ă©tait sapĂ©e par la rĂ©currence des tĂąches domestiques ou si elle pensait que nous mĂ©ritions un master en logistique đ
« Surtout n’hĂ©site pas Ă m’appeler si tu veux parler. Je t’Ă©courterai ! »
Bah on dirait que ma langue a fourchĂ©. Pourtant je ne voulais pas raccourcir le temps consacrĂ© Ă cette conversation… đ
âȘEnvie de baiser. De mĂ©langer nos bras. Nos jambes. Nos sexes. Nos langues. âŹD’enfoncer mes doigts dans ton cul. De te sentir entrer dans ma chatte ruisselante.
Envie d’encore. De tes doigts qui m’agrippent. De mes orgasmes que tu enfiles comme des perles autour de ton poignet. De ta voix qui dit des cochonneries qui ne sont que des choses que tu vas me faire. De te laisser te soulager par moi.
Envie d’ĂȘtre baisĂ©e. Mordue. Fort. Longtemps. Jusqu’Ă ce que le sommeil me gagne alors que tu jouis enfin contre moi avec un sourire fĂ©lin comme si tu voulais dĂ©jĂ recommencer.
« Les baisers reçus ou donnĂ©s distraitement, c’est bof. D’oĂč la nĂ©cessitĂ© de rater le terrain avant de se lancer. »
Mais combien de dĂ©ceptions cache cet aveu ? En tous cas, moi, je veux bien que tu me tĂątes de partout. Et si ça rate, essaie encore ! đ